COCTEAU (Jean). TROP TARD. LA BELLE ET LA BÊTE. MANUSCRIT AUTOGRAPHE SIGNÉ ; 10 octobre 1946 ; 3 pages in-4.
Texte autographe signé, écrit pour " Carrefour " le 10 oct. 1946, cet article rapporte comment l'auteur assistant à la projection de son film LA BELLE ET LA BÊTE au Festival de Cannes, en trouva " la véritable fin " : le miracle n'ayant pas lieu, " la Bête ne se transforme pas. Et elle meurt. Belle reste seule au monde, en deuil du montre (...) Elle ne voudra ni prince, ni mari, ni beaucoup d'enfants. Le conte y perdrait de son exactitude et de son conformisme des contes de fée auquel j'ai voulu me soumettre. Il y gagnerait en humanité ".