1 p. in-4 (29,6 x 20,9 cm) sur papier à lettre à l’en-tête des éditions de la Table ronde, avec enveloppe.
Lettre dactylographiée signée « Eight-o-four » à son ami et éditeur Christian Giudicelli au sujet d’une lettre de la « Reine Mère ». Matzneff irrité parle de ses amis. « Brongersma doit être un peu gâteux, car depuis mon retour de Manille et la mort de notre ami Jungné je l'ai eu deux fois, […], mais à aucun moment il ne m'a dit avoir revu Jacq dont pourtant, avant mon départ pour les Philippines, je lui avais demandé avec insistance s'il en avait reçu des nouvelles ! » Il continue au sujet d’un mystérieux homme nommé la « Reine Mère » et d’un de ses textes. « Je me félicite d'avoir remplacé dans le manuscrit final de La Prunelle de mes yeux-son sobriquet par son nom, car cela l'aurait sans nul doute peiné. D'un point de vue littéraire, c'est cependant regrettable. »
On y joint, la copie de la lettre de la « Reine Mère ».