Signée et numérotée "5/5"
"Encourager les gens à ne pas seulement voir, mais aussi à regarder ce qui les entoure, repenser les stéréotypes de notre culture, ne pas rester passif devant le règne de la consommation ostentatoire ", D*Face.
DFace découvre l'univers du graffiti et du Street art à l'âge de 15 ans.
Adolescent, il est fasciné par les Etats-Unis et rêve de vivre le rêve américain. Il est féru de skate et de dessin, mais c'est sa mère qui va déclencher sa vocation pour le Graffiti en lui offrant les revues Subway Art et Spraycan Art de l'américain Henry Chalfant. Ces ouvrages regroupent des centaines de photographies de Graffiti du New-York des années 70 et 80.
D*Face commence alors à s'initier au Street art en distillant ses stickers un peu partout dans les rues de Londres.
Après des études de design, il commence à travailler comme illustrateur freelance tout en développant son activisme de rue.
Son thème de prédilection est l'obsession compulsive de la société pour les célébrités et la consommation de masse. Il utilise le terme 'aPOPcalyptic' pour décrire son travail, qui comporte souvent des images d'icônes culturelles (Marylin Monroe, Andy Warhol, la reine d'Angleterre, etc.)
Il peint sa propre réinterprétation du courant Pop art… Queen Elizabeth avec un anneau dans le nez ou une Marilyn squelettique en couleur framboise.
Il puise son inspiration dans le graphisme du skate qu'il pratique avec passion, et dans celui de la publicité, des comics et des couvertures d'albums de musique punk-rock. Il s'inspire largement des œuvres de l'artiste Roy Lichtenstein, mais développe un style plus noir et plus satirique (crâne, os et commentaires morbides).