Je demeure, naturellement, “votre homme”.
« Je me permets de vous féliciter respectueusement de votre magnifique et décisive intervention d'hier :
Si les événements vous apportent le moyen de prendre, dans le prochain gouvernement, la direction de l’Armée française, laissez-moi vous supplier de ne pas vous en défendre. Il y a une grande tâche nationale à accomplir à cet égard. Puissiez-vous y attacher votre nom !
Je demeure, naturellement, “votre homme”, dans cette éventualité, comme dans toute autre […] »
Infime trace de trombone.
L. N. C., vol. 1, p. 779.